The killing (US)

The Killing S1 iTunes

 

Il y’à peu de temps, alors que j’étais à la recherche d’une nouvelle série à regarder, je suis tombée sur l’un de vos blogs sur un mini résumé de la série The Killing. J’étais assez peu convaincue, mais n’ayant plus rien à regarder, j’ai tenté… Et j’ai dévoré la saison 1 en deux jours!

Alors que la campagne électorale fait rage à Seattle, le corps d’une adolescente, Rosie Larsen est retrouvée poings liés dans le coffre d’une voiture de campagne du conseiller Darren Rochmond, au fond d’un lac. L’enquêtrice Linden, qui doit demenager pour se marier en Californie, et son successeur, Holder mènent l’enquête pour trouver le tueur.

J’ai adoré l’univers sombre et pluvieux de cette série, les personnages qui ne semblent pas sortis d’un concours de mannequin avec leurs cernes sous les yeux, l’enquête qui ne se résout pas en un épisode mais qui prend plus d’une saison, les multiples rebondissements de l’enquête, le fait que dès fois, comme dans la vraie vie, les inspecteurs se plantent dans leurs déductions.

J’ai surtout adorés les deux personnages principaux, Sara Linden et Stephen Holder. L’une tente de jongler avec un fils adolescent et un futur mari qui ne comprend pas qu’elle reste pour son enquête, l’autre qui débarque des stups et qui a un passé trouble. Je pense qu’aucun des deux ne sourie dans cette série. Les personnages sont filmés de manières assez crue, avec leurs états d’âme, leurs doutes, leurs faiblesses.

En bref, j’ai adoré et je conseille aux amateurs de polar de regarder cette série. Sur ce, je m’en vais commencer la saison 2…

The Killing (Season 1)

J’ai regardé…The Carrie Diaries

THE CARRIE DIARIES

Hier soir, afin de célébrer dignement la fin de mes quatorze partiels, j’ai décidé de me faire une soirée rien qu’à moi du type « bain/vernis/je-mange-que-du-sucré/je-regarde-un-truc-pour-filles-et-je-vous-emmerde ». Mais j’en suis arrivée à un point, c’est triste à dire où je ne trouve plus de nouvelles séries qui me plaisent (sauf que j’ai découvert The city et que ça m’éclate, mais nous en parlerons un autre jour, sinon mon honneur ne s’en sortirai pas…).

 

A force de fureter sur les blogs, je me suis rendue compte que c’était cette semaine que sortais The Carrie Diaries, série adaptée du roman éponyme de Candace Bushnell, que je n’ai pas lu vu ma dernière expérience.

 

Je dois avouer que je suis mitigée. Certes, je savais que Carrie allait être plus jeune, mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit au lycée et habite encore chez son père (sa mère étant morte trois mois auparavant). Je pensais que la série allait nous conter comment elle avait réussi à se frayer un chemin jusqu’au top depuis son arrivée à New York. Raté.

 

Si l’on retrouve bien les ingrédients de Sex and the city, amour (dès la 2ème minute), sexe (des la 6ème minute), sacs (1ère min), il manque pour moi ce qui fait tout le charme de SATC: une bande d’amies soudées. Les personnages secondaires m’ont parus totalement insipides, probablement parce que j’imagine qu’ils sont voués à disparaître rapidement. Elles sont le cliché que l’on rencontre dans tous les films/séries pour filles: la gentille un peu nunuche qui se fait larguer/ la copine un peu salope qui couche avec un autre mec que son copain/ le dit copain gay qui s’ignore/ la méchante un poil vulgos qui veut se taper le nouveau du lycée/ le nouveau du lycée.

 

J’ai trouvé que l’arrivée de Carrie à New York était sympa, mais le coup du « oh tiens! si j’allais m’acheter des collants? oh, madame! veuillez lâcher mon sac! ah tiens, vous êtes rédactrice de mode? chouette on est copines? » un peu gros. (mais si Anna Wintour veut passer dans le coin, je suis actuellement en combinaison-pyjama léopard et rose qui irait très bien dans Vogue…). Durant les dix dernières minutes, j’ai cependant retrouvé ce qui fait l’âme de Carrie dans SATC, cette envie perpétuelle de se trouver et ses pensées notées dans son journal en voix off. Ces dernières minutes m’ont fait tout drôle, et là, dans mon combi-pyj léopard et rose, avec le chat qui me ronfle sur les genoux et le vernis à la main, j’ai eu l’impression de retrouver une vieille amie qui a bercé mon adolescence (et m’a appris un paquet de trucs…).

 

Je pense que je vais regarder le deuxième épisode pour me faire une meilleure idée. Et peut être le troisième aussi. et le quatrième, faut voir…

 

 

 

 

 

 

 

Mention spéciale pour le styliste qui a choisi ces merveilleuses robes:

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